Vous ne rêvez pas... vous vous apprêtez à lire l'épilogue d'une formidable aventure. Notre chère Insoumise en fut bien malgré elle l'instigatrice. Mais elle a répondu à mes mots, avec les siens. Cet épilogue vient clôturer ce texte que je vous laisse découvrir ici ou là.

Alors libre à vous... de lire ma conclusion ou de lire le long chemin qui nous a conduit ici ;-)

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Eh oui, vous croyez que j’allais en rester là ? Raté. Qui s’en plaindra !

La scène avait quelque chose de surréaliste. Était-ce du au lieu... mon bureau ? Ma posture... debout le sexe tendu, mon pantalon sur les chevilles ? Ou bien, tout simplement, elle... les jambes écartées, les seins offerts et... mon sperme dégoulinant sur sa peau ?

J’avais obtenu ce que je voulais et mon sexe devait regagner son étui. Je saisissais sur mon bureau la boite de mouchoir en papier. Je lui tendis. Elle prit soin d’en prendre plusieurs et commença minutieusement à se nettoyer le bout des seins, le creux de sa poitrine, son bas ventre. Ses gestes étaient méthodiques, son regard fixé sur moi.

Il était temps pour moi de me rhabiller. Je passais derrière mon bureau comme pour lui signifier qu’elle était dans mon antre et dont j’en étais encore le maitre. Éjaculer sur elle n’avait pas été une faiblesse, bien au contraire. Et je suis convaincu qu’elle avait accueilli ce jus comme une offrande, une marque de grand respect envers elle, son corps, sa beauté.

Elle reboutonna son chemisier et remis en ordre sa jupe. Sans un mot, elle se dirigea vers la porte. Réunion terminée.

La porte se referma. Je restais également sans voix. Et puis.

Je ne pouvais la laisser partir ainsi. Une chose me faisait envie. Une envie tout aussi cruel que ce moment masturbatoire. Mais elle m’avait défié den venant dans cette cage. Ce moment devait rester graver dans sa mémoire. Elle devait se souvenir des conséquences de sa venue... assumer ce choix... et y réfléchir à deux fois pour une éventuelle prochaine visite.

Je la retrouvais devant les ascenseurs. Surprise. Gentleman, je retiens la porte. Elle entre et choisit son étage... le rez-de-chaussée évidement. 26 étages à descendre... rapidement... trop rapidement.

Notre premier arrêt fur le 25ème étage. Cet à ce moment, que mon ultime assaut prix forme. J’étais adossé à la cage d’ascenseur. Elle, devant moi, proche de la sortie. Me fuyant peut-être, m’ignorant. Notre visiteur appuya sur le 24ème étage. A mon tour d’esquiver un mouvement et de choisir le 23ème.

Je prenais un risque... soit, il s’agissait d’un court voyage soit le début d’une aventure... très spéciale.

Je m’étais ainsi rapprocher d’elle... j’étais collé à elle.

Sans plus attendre, ma main se glissa entre ses cuisses. Elle sursauta. Un frisson, sans doute, la transperça. Elle ne dit mot.

L’ascenseur s’arrête au 24ème. Personne ne monte. Nous sommes seuls. L’ascenseur redémarre à nouveau puis s’immobilise à l’étage suivant. Juste assez de temps pour remonter ma main et effleurer sa vulve.

Les portes du 23ème s’ouvrent, elle tend le bras et appuie sur le 22ème. Y prendrait-elle gout ?

Au moment où les portes se referment, mon piège en fait de même... et c’est un doigt qui vient la pénétrer. Enfin... qui essaye. Sa culotte est toujours présente et j’essaye tant bien que mal de m’en défaire.

Arrivée à l’étage suivant, mon doigt a su se faufiler. La culotte écartée, mon doigt est à présent enfoui dans son intimité. Humide ? Ô oui ! Notre « réunion particulière » l’avait sans aucun doute excitée. Je palpais à présent son excitation.

Je demeurais droit comme un I dans cette nouvelle cage. Elle, elle posa une main sur le pourtour de la porte de l’ascenseur. Penchée en avant, elle était à ma merci. Collé à elle, mon doigt la pénétrant le plus profondément, je pouvais percevoir la moindre de ses réactions.

Les portes s’ouvrent et aussitôt elle appuie sur la commande pour les refermer. Geste frénétique... comme un supplice, de ne pas vouloir être vue ainsi... conquise, fragile, dominée.

Elle s’empressa alors d’appuyer sur quelques boutons... au hasard... comme pour prolonger cet instant. Ma main se posa à son tour sur le cadran et pris soin, calmement, d’appuyer un à un sur les boutons manquants.

Je m’assurais un voyage extraordinaire. Chaque ouverture de portes était vécue par elle comme un supplice. Elle devait se retenir, se redresser un peu, contenir ses cris, ses râles... resserrer ses jambes. Les portent se referment et c’est mon majeur qui s’affole... la fouillant, la pénétrant, se glissant en elle. Mes doigts la caressent, titillent ses grandes lèvres, son clitoris. Sa petite culotte agit comme un rempart mais le frottement du tissu sur sa vulve et son clitoris n’en est que plus excitant. Elle a ma merci... quelques secondes à chaque fois, entre 2 étages.

Le supplice fut long... et fini par jouir à l’ouverture des portes au 4ème étage. Les portes donnaient sur un couloir sans fin... des cubicules délimitant l’espace... il était vide, sans vie. Seul son râle, son cris de jouissance vint réveiller le calme ambiant. Mes doigts étaient toujours en elle... son jus coulant sur mes doigts... elle s’abandonnait dans cette jouissance incroyable... elle ne pouvait se contenir. Les portent se refermaient et au loin... je vis des têtes sortir dans le couloir... se demandant sans doute d’où provenait ce cri.

Inutile de chercher, nous sommes arrivés à notre terminus.

Les jambes molles, le regard humide, le souffle court, elle sortit enfin de l’ascenseur. Je restais de marbre et appuya à nouveau sur le 26ème étage. Au revoir.... À bientôt.

O mon preux chevalier
Sortez votre épée du fourreau
Laissez-moi la couvrir de baisers
Qu’elle se redresse pour l’assaut

Cette arme de désir
Elevée face au combat
Me transperçant de plaisir
Lors de nos tendres ébats

Introduisez votre lame
En moi, votre humble servante
Je me donne corps et âme
A votre attaque triomphante !